Cette pièce est une adaptation originale du célèbre Typewriter de Leroy Anderson, œuvre humoristique créée en 1950 et rendue célèbre par l’usage insolite d’une machine à écrire comme instrument soliste. Dans la version pour batterie-fanfare, l’esprit malicieux de la partition est conservé, mais avec une orchestration repensée.
La mélodie principale, confiée aux violons dans l’original, est ici reprise par un xylophone soliste, soutenu par les cuivres naturels qui assurent l’assise et l’élan rythmique. Et bien sûr, la « machine » garde toute sa place : le conducteur lui-même s’empare de cette partie insolite, marquant les frappes et les sonneries qui font tout le sel de la pièce.
Ding ! Cuivre à la ligne offre ainsi un clin d’œil complice à l’humour d’Anderson, en l’adaptant à l’énergie et aux couleurs de la batterie-fanfare. Idéal pour surprendre et amuser le public, ce morceau combine virtuosité, fantaisie et bonne humeur.