Dans une première rencontre amoureuse, deux élans s’entremêlent.
Le premier, c’est la douceur du contact : les regards qui s’accrochent, les sourires qui se répondent, l’évidence d’un échange naissant.
Le second, c’est la déraison : cette fièvre qui nous pousse à croire que tout devient possible, que rien ne peut nous arrêter.
Qui n’a jamais rêvé de changer le monde après une première étreinte ? Qui n’a jamais voulu décrocher la Lune ?
On a alors l’impression de quitter la Terre pour habiter un univers parallèle, hors du temps et des peurs.
Un monde qui ressemble au Paradis — à la différence près qu’il n’est pas au ciel, mais bien dans notre cœur.